... Philippe, Roland, Patrice et moi... derrière l'objectif.
Après 1h30 de marche,
nous décidons de bivouaquer dans un champ situé au fond d'un vallon, loin de toute habitation.
Nous nous installons en bordure de la Souleuvre, rivière qui coule paisiblement à cet endroit.
L'obscurité arrivant à grand pas, nous ne perdons pas de temps pour monter les tentes.
nous décidons de bivouaquer dans un champ situé au fond d'un vallon, loin de toute habitation.
Nous nous installons en bordure de la Souleuvre, rivière qui coule paisiblement à cet endroit.
L'obscurité arrivant à grand pas, nous ne perdons pas de temps pour monter les tentes.
23h30, sous le feu des projecteurs, après avoir mangé une superbe entrecôte,
chacun à sa façon, profite pleinement de la soirée.
chacun à sa façon, profite pleinement de la soirée.
Le tabac, la poubelle et en plus un raidillon, là c'est vraiment trop. On craque, mais pas d'inquiétude, nous sommes un groupe uni alors on s'attend et on prend le relais de la poubelle.
Il est bientôt 14 h00, nous avons enfin trouver un endroit pour nous restaurer. Certes il n'est pas idéal, un peu pentu, mais quand la fringale vous tenaille on ne fait pas le difficile. Cela dit, nous sommes à l'abri du vent, isolés des habitations et à coté d'un petit cours d'eau bien utile pour le rafraichissement des boissons.
16h00 Il va falloir songer à repartir.
La prévoyance est de rigueur surtout lorsqu'on est sensible des pieds.
Nous avons pris du retard et nous sacrifions notre sieste réparatrice.
La prévoyance est de rigueur surtout lorsqu'on est sensible des pieds.
Nous avons pris du retard et nous sacrifions notre sieste réparatrice.
A froid, la cote, le sac à dos, et la poubelle pour certains, mettent à rude épreuve notre organisme.
19h10, les tentes sont montées, à la grande satisfaction de tout le monde. Nous avons installé notre campement dans une allée forestière sur une crête. La topographie du terrain ne nous permet pas d'avoir un cours d'eau, alors sans tarder nous allons faire "re...péter" le bouchon avant que la bouteille "chauffe".
21h50. Est-ce l'apéro?, est-ce l'heure tardive?, est-ce la grillade? ou tout simplement l'effort de la journée qui font de nous des affamés.
10h00, après une bonne nuit régénératrice,
nous sommes prêts à supporter le martyre de nos sacs à dos.
nous sommes prêts à supporter le martyre de nos sacs à dos.
Comme il est long ce chemin de crête menant à Bény-Bocage.
Interminable et usant pour les personnes qui n'ont pas l'habitude de marcher.
Interminable et usant pour les personnes qui n'ont pas l'habitude de marcher.
Quelques kilomètres plus loin,
nous avons trouvé le coin idéal pour manger avec un frigo naturel pour nos boissons.
Premier travail, chercher du bois mort et allumer le barbecue.
nous avons trouvé le coin idéal pour manger avec un frigo naturel pour nos boissons.
Premier travail, chercher du bois mort et allumer le barbecue.
17h00, enfin le soleil apparait.
C'est l'occasion rêvée pour prendre une pause
sur cette aire de pique-nique devant le moulin Pinel.
Il nous reste encore 2 km à parcourir pour retrouver les voitures.
C'est l'occasion rêvée pour prendre une pause
sur cette aire de pique-nique devant le moulin Pinel.
Il nous reste encore 2 km à parcourir pour retrouver les voitures.
Nous avons terminé notre périple une heure plus tard tous heureux de ne plus avoir à porter ce fameux sac à dos qui nous a tant meurtri les épaules.
Chacun est satisfait de son week-end, même s'il n'a pas été de tout repos.
Nous nous sommes donnés rendez-vous l'année prochaine, pour une autre expédition.
Chacun est satisfait de son week-end, même s'il n'a pas été de tout repos.
Nous nous sommes donnés rendez-vous l'année prochaine, pour une autre expédition.
Yves "le normand"
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